J'ai voulu découvrir le monde BDSM sur le tard, juste après mon divorce.
A ce moment j'avais pourtant redécouvert l'échange avec des femmes, sans doute un peu écorché, j'ai voulu me mettre à l'abri en fréquentant des femmes mariés ( peu 2), j'aurai sans doute du franchir le pas d'une femme libre, j'ai voulu me jeter dans l'aventure BDSM, rien ne m'y obligeait je mesurai déjà que c'était un chemin difficile ou je ne disposais ni de tous les atouts ni tous les codes.
Merci SF pourrais je dire.
Je suis devenu le soumis d'une femme mariée lointaine, j'ai aimé cette femme, j'ai du être apprécié en retour mais pas aimé. Moi je n'ai pas vu tous les pièges de ce type de cette relation, je n'ai pas saisi que j'étais le N°2, ce n'est pas facile d'avoir le martinet et le gode quand l'autre à le corps à disposition, les pensées, l'amour. En fait non je ne l'ai saisi que longtemps après
Trois semaines de stress, de guérilla psychologique, de destruction systématique, critiques, rebuffades perpétuelles sont venues à bout de ma patience, j'ai repris ma liberté.
Et je m'en suis voulu longtemps, vivant dans les remords de ma faiblesse et du goût que j'ai à être dirigé, humilié, châtié.
Il y a peu toutes sortes d'informations me sont venus à ma connaissance, j'ai découvert que finalement cette rupture n'était pas complètement à ma charge, j'aurai du y trouver des baumes pour une peine lanscinante et idiote, moi je n'avais pas encore tourné la page.
J'ai perdu ce que je croyais être des certitudes, un soumis est il seulement le jouet utile d'une femme dominante et sadique.
Dois t'on se soumettre sans sentiment, sans cette épice indispensable je crois qu'il faut mieux dans ce cas se cantonner aux jeux de soumission et de SM comme une agréable récréation?