On ne peut nier le trouble que procurent ces instants, quelle que soit la manière dont on le présente ce trouble est vivant au sens éthymologique du terme... il se développe, s'amplifie, se régénère, attrape un rhume (frôle la mort) et...finalement réapparait. Qu'il soit présenté de manière naïve, ou à l'aide de paraboles poétiques, ou encore au moyen de sordides listes de désirs, de besoins, d'exhutoires, il n'en demeure pas moins une réalité. Est il plus présent dans la psyché masculine que dans celle opposée, probablement... il n'en demeure pas moins incontournable...Est ce un jeu, un jeu noble ? un jeu sérieux ? un art de vivre ? un moyen de ressouder le couple ? une fin en soi ?
il est multiple, je le suis aussi....